algérien au liban

L’hebdomadaire français De fait la Sonatrach qui n’est pas un Etat dans l’Etat mais bien le tiroir-caisse du régime algérien et son fidèle exécutant, utilise les mêmes méthodes que ce régime dont elle est un pilier essentiel. "En 2002 et 2003, il (Farid Bedjaoui NDRL) était ici au Liban avec l’ancien ministre algérien de l’Energie Chakib Khelil. » Ils sont ainsi plusieurs milliers au Liban, à l’image de cette artiste de 36 ans, à vivre au rythme d’une mobilisation contestataire inédite. "Le dossier du carburant défectueux est un énorme scandale, documenté par de nombreux rapports", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse au Parlement, déplorant que certains "commencent à œuvrer pour l'enterrer". C’est pourquoi la Sonatrach est l’une  des cibles habituelles des manifestants algériens. Un Algérien a été légèrement blessé dans l’explosion spectaculaire qui s’est produite hier mardi 4 août, dans le port de Beyrouth au Liban.Un Algérien a été légèrement blessé dans l’explosion spectaculaire qui s’est produite hier mardi 4 août, dans le port de Beyrouth au Liban, a annoncé ce mercredi le porte-parole du ministère algérien des Affaires étrangères dans un communiqué, publié par l’ENTV.« Nous avons également reçu des informations concernant la présence d’un autre citoyen algérien dans un hôpital de Beyrouth », a-t-il ajouté, précisant que les représentations algériennes sur place tentent de confirmer l’information.L’explosion a fait au moins 100 morts et plus de 4000 blessés, selon le dernier bilan publié ce mercredi matin.Lancée le 20 juillet, l’opération de rapatriement des Algériens bloqués à l’étranger...Air Algérie : 20 vols programmés au départ de 8 paysFrance : « contrôle sanitaire » pour les voyageurs en provenance d’Algérie C’est dans ce contexte que, depuis janvier 2020, le Liban connait un nouveau scandale concernant la fourniture de fioul frelaté, non conforme aux spécifications techniques prévues dans le cadre du contrat de fourniture à l’Electricité du Liban, à plusieurs unités de production déployées dans les centrales de Zouk (Kesrouan) et Jiyeh (Chouf)Deux  sociétés seraient impliquées dans ce scandale, la compagnie algérienne Sonatrach et la compagnie libanaise ZR Group. Pour plus d'informations, visitez les EmbassyPages du Liban. Ces milieux sont terrifiés de voir avec le nouveau pouvoir leurs intérêts, tirés de la corruption, s’effondrer! Sortie de l’Algérie de la liste UE : la réaction de l’ambassadeur à Bruxelles

La procureure générale près la cour d’appel du Mont-Liban, Ghada Aoun, a ordonné l'arrestation de 17 personnes, notamment le directeur au Liban du géant pétrolier et gazier public algérien Sonatrach, dans le cadre de l'affaire du fuel frelaté qui suscite des remous depuis quelques… ", s'est-elle encore interrogée, ajoutant qu'une des personnes qui étaient actuellement poursuivies dans le cadre de cette affaire avait été naturalisée libanaise dans le décret de naturalisation polémique publié en 2018, faisant explicitement référence à Farid Bedjaoui, impliqué dans plusieurs dossiers de corruption du groupe pétrolier public notamment dans le scandale "Sonatrach–Saipem".Et d'ajouter que "des déchets pétroliers sont envoyés au Liban et il faut que l'enquête à ce sujet englobe la société qui fait fonctionner les navires-centrales" qui utilisent une partie du fuel controversé.

C”est le scandale qui fait couler beaucoup d’encre depuis hier samedi.

"Pourquoi le contrat avec Sonatrach est-il secret ? Cette annonce survient quelques semaines après l’annonce de l’Algérie de ne pas renouveler son contrat de livraison de produits pétroliers au Liban, à la suite d’un scandale de corruption concernant la livraison de cargaisons supposément défectueuses. L’article précise que le procureur général près la cour d’appel du Mont-Liban, Mme Ghada Aoun, « a lancé une enquête concernant un navire de transport de carburant qui serait chargé de fuel non-conforme, destiné à être livré aux centrales électriques libanaises. © Libnanews, le média citoyen du Liban.

C''est le scandale qui fait couler beaucoup d'encre depuis hier samedi. Cette affaire qui met principalement en cause la société algérienne a eu des répercussions diplomatiques puisque, lundi 4 mai, le ministre libanais de l’Énergie et de l’Eau, Raymond Ghajar, a convoqué l’ambassadeur algérien au Liban, Abdelkrim el-Rakaybi « pour évoquer le dossier ».