cours histoire de la psychologie l1

Les relations entre ces différentes écoles sont assez tendues.Le problème est que ce système ne concernait que la vie mentale intellectuelle.

- 1795: fait signalé par Nevil Maskelyne (Greenwich).

Mémoire de l’organisme reproduit dans l’embryon. « Tout ce que nous percevons du monde extérieur, nous le percevons par le fait que certaines modifications qui ont été provoquées dans nos organes sensoriels par des impressions externes sont transmises par les nerfs au cerveau ; ce que par conséquent nous percevons immédiatement n’est jamais l’action directe de l’agent externe sur les transmissions de nos nerfs mais toujours uniquement la modification transmise par les nerfs que nous désignons comme l’état d’irritation ou d’excitation du nerf ».La sensation est liée à une certaine modification de l’organisme et non à des qualités propres du monde. - Le cerveau est un organe pluriel, un « organe d’organes », « composé d’autant d’organes particuliers qu’il y a de qualités et de facultés fondamentales ou primitives essentiellement différentes ». 2.

J'ai crée ce site quand j'étudiais la psychologie en 2006 pour avoir accès à mes notes de cours où que je sois via internet. Un être vivant ne se forme pas de circonstances, il provient d’un être autre être vivant.

4 chapitres sont traités au cours du semestre.

»Darwin, dans l’Origine des espèces, répond à cette « explication » :« …les individus les plus élevés et les plus capables de brouter un pouce ou deux plus haut que les autres ont souvent pu être conservés en temps de famine ; car ils ont dû parcourir tout le pays à la recherche d’aliments. - Étude des cas pathologiques (principe de Broussais → identité de nature entre normal et pathologique, différence de quantité et non de qualité, étude pathologique renseigne sur le normal) → la psychopathologie va se développer très vite en France, on parlera à l’occurrence Theodule Ipolitaine et Ribeau.→ Psychologie nouvelle : observations, faits et physiologique d’abord.Siège de la fonction du langage articulé dans le cerveau (1861).Patient « Tan » : incapacité de s’exprimer, le seul son qu’il pouvait dire était le son « tan ».

Donc vous allez avoir un grand nombre de matières.

Wundt et l’institutionnalisation de la psychologie :Ce nom est déjà réservé. - Syntaxe et grammaire perdent leur qualité,Fonctions à localiser sont données par la clinique → la perte du langage articulé est un symptôme → quelle lésion lui correspond ?Le patient Tan peut comprendre mais ne peut pas s’exprimer = la zone lésée est impliquée dans l’expression mais pas dans la compréhension.Il met en évidence l’aire de la compréhension (différente de celle de l’expression) = dans le lobe temporale de l’hémisphère gauche.Les patients atteins de ce disfonctionnement peuvent parler de manière fluide, mais leurs phrases n’ont pas de sens :Pour la première fois ce n’est pas l’intuition de l’observateur quiAnosognosie = la non conscience d’un trouble à très présent chez WERNICKE et aussi plus tard dans la maladie d’Alzheimer.Utilisation des mathématiques : Son œuvre se base sur le principe qu’une science psychologique est possible à partir du moment où on peut utiliser les mathématiques dans la psychologieProposition : unir les mathématiques à l’idée d’observer les représentations.La physiologie construit le corps avec des fibres, la psychologie construit l’esprit avec des séries de représentations.→ Les phénomènes que la psychologie doit étudier sont les représentations et les lois qui les régissent.Conflit des représentations est soumis à une opposition de forces que l’on doit pouvoir mesurer → il ajoute à la caractéristique qualitative des représentations une caractéristique quantitative.Déterminer le seuil qui sépare représentations conscientes et inconscientes.Il n’a jamais aboutit à des résultats concrets, ses idées ont apporté des hypothèses scientifiques nouvelles, mais ses études ont influencé les générations futures de physiologistes et aussi préparé introduction de l’expérimentation dans l’étude psychologique.Parallélisme psychophysique, entre l'esprit (psycho) et le corps (physique).« Pour nous, […] chaque fois qu’un processus se déroule dans l’esprit, un processus correspondant se déroule dans le corps, sans que l’on puisse dire que l’un des deux a causé l’autre ».Physique et psychique sont les deux « faces » d’une même réalité, ils ne diffèrent que par le « point de vue ».

- La transmission de la volonté dans les nerfs moteurs et l’exécution du mouvement par les muscles.→ Il va tenter d’élucider l’équation personnelle, c’est-à-dire cette quantité de temps que les astronomes emploient pour observer plus tôt ou plus tard que les autres un certain phénomène.Chronoscope de Hipp pour mesurer des temps de réaction.Relié à un dispositif expérimental → pince électrifiée sur le corps du participant et sujet doit appuyer sur un interrupteur avec sa main droit au moment où il ressent une légère douleur.→ La vitesse du courant nerveux chez l’homme est de 34m/s.Plus tard, Helmohltz va confirmer les résultats trouvés par Hirsch.1865 : compliquer l’acte cérébral pour mesurer la durée d’une opération intellectuelle.1.

Histoire de la psychologie - cours (suite) Histoire de la psychologie - cours (suite 2) Histoire de la psychologie - complément. Après tout, nous parlons bien d’une intensité plus ou moins grande des sensations ; il y a des pulsions de forces différentes ainsi que des degrés plus ou moins grands d’attention, de vivacité des souvenirs et imaginations, de clarté de la conscience en général, et de l’intensité des pensées particulières ».Ses travaux ont influencé plusieurs autres « chercheurs ».

- Les os du crâne sont l’empreinte fidèle du cerveau  - Palper le crâne (cranioscopie, craniologie) et faire le lien entre une faculté (ou un trait) exceptionnelle et un relief ou creux osseux. Je travaille depuis 7 ans dans le domaine de l'ergonomie, mais je continues à maintenir le site car il s'est avéré utile à de nombreuses personnes dans leurs révisions. Histoire de la psychologie, tronc commun Présentation de l’unité d’enseignement.

Introduction. - La perception dépend de la probabilité de l'occurrence du phénomène, c’est-à-dire de l’apparition du phénomène dans le monde où on vit.