Le rêve initial d’une poignée de zélotes s’est imposé au pays.Cette approbation intervient à moins d’une semaine d’élections législatives cruciales pour l’avenir politique du premier ministre, Benyamin Nétanyahou.La base de données de l’ONU sur les entreprises opérant dans les colonies israéliennes des territoires palestiniens occupés trace une ligne entre frontières légitimes et colonisation, estiment dans une tribune au « Monde » cinq personnalités israéliennes, dont Eli Barnavi, ancien ambassadeur, et Avraham Burg, ancien président de la Knesset.Israël a également revendiqué une série de frappes aériennes à Gaza en représailles à des tirs de roquettes du groupe islamiste armé qui voulait « venger » le « martyre » d’un de ses combattants.De Ramallah à Bethléem, Naplouse ou Hébron, la pratique s’est étendue comme une traînée de zénitude.Alors que le plan de paix de Donald Trump bafoue le droit international, Paris fait profil bas au lieu de rappeler les risques d’une dégradation de la situation en Cisjordinie et à Gaza estime, dans une tribune au « Monde », l’ancien diplomate Yves Aubin de La Messuzière, spécialiste du Moyen-Orient.Airbnb, Expedia ou encore Booking.com font partie des entreprises citées dans cette liste dressée par les Nations unies et sans conséquence légale immédiate.Le président de l’Autorité palestinienne refuse le plan dévoilé par le président américain, Donald Trump, le 28 janvier.Avec 30 autres signataires spécialistes du Moyen-Orient, le professeur de science politique Jean-Paul Chagnollaud critique, dans une tribune au « Monde », le double alignement sur Washington et sur Tel-Aviv de Paris face à un plan « dangereux pour la paix ».Devant le Conseil de sécurité des Nations unies, le président de l’Autorité palestinienne a rejeté un plan de paix qui conduirait à un Etat palestinien « fragmenté ».La monarchie hachémite, bien que sous perfusion financière des Etats-Unis, est le seul allié arabe de Washington à avoir ouvertement rejeté son projet pour le Proche-Orient.La Palestine a finalement renoncé à demander un vote sur une résolution sur la situation israélo-palestinienne. Le projet de Netanyahou d'annexer une partie de la Cisjordanie occupée par Israël est critiqué par la communauté internationale. Les conséquences, douloureuses, se font déjà sentir.Le gouvernement d’union israélien doit présenter à partir du 1er juillet sa stratégie pour mettre en œuvre le plan de l’administration américaine, lequel prévoit l’annexion des colonies et de la vallée du Jourdain.Le maire de la Ville sainte, Moshe Leon, élu avec le soutien des ultraorthodoxes, coopère avec les résidents de quartiers arabes négligés en temps « normal ».Le procès a suscité un débat sur les méthodes d’interrogatoire du renseignement israélien.La mise en place de ce nouveau gouvernement met un terme à plus d’un an d’impasse politique. L’UE doit réagir de manière forte, claire et concrète à la volonté du premier ministre israélien d’annexer une partie des territoires palestiniens occupés.Le premier ministre Nétanyahou attend un feu vert américain pour mettre à exécution son projet.Un collectif de 112 parlementaires de sensibilités diverses, emmené par le député (EDS) Hubert Julien-Laferrière, vice-président du Groupe d’études à vocation internationale France-Palestine de l’Assemblée nationale, affirme dans une tribune au « Monde », qu’il est urgent que l’Europe et la France agissent pour préserver la solution à deux Etats au Proche-Orient.Ce bouclage intervient après ceux des villes de Hébron et Naplouse, mi-juin, respectivement pour cinq jours et quarante-huit heures.Depuis la fin mai, l’Autorité palestinienne affirme avoir coupé les communications avec Israël. Du secrétaire général de l'ONU à Boris Johnson, tous mettent en garde contre le risque de déstabilisation. 20 juil. En Israël et dans les territoires palestiniens, les choses s'organisent pour tenter de se prémunir contre l'épidémie de coronavirus.