il y avait sans doute une foule de choses à montrer sur les méthodes utilisées et les buts désirés par les canidés des médias, ce que le livre du même nom de serge halimi avait tout de même plutot bien fait 10 ans auparavant. Suivre son activité Publiée le 8 avril 2012 François Ozon Belle démonstration.
En 1955, avec L’étreinte du destin, George Sherman est au sommet de son Art, prenant à bras le corps cette histoire aux nombreux niveaux de lecture suivant un personnage tentant désespérément de repartir à zéro dans un endroit où personne ne veut de lui. J'adore !, courrez y ! Votre avis sur Les Nouveaux chiens de garde ? Profitons donc du creux estival et de l'annonce du programme de la section parallèle New Horizons ce jour pour faire le point en cette année 2020 si particulière sur ce festival européen prestigieux. Suivre son activité
Mis en scène intelligemment, on ne voit pas le temps passer.
Mathieu Kassovitz
Et notre société, c'est ce qui se lit sous les regards énamourés qu'une Ockrent ou qu'un Elkabbash adressent aux politiques et aux financiers, ce sont les scores fleuves des émissions les plus abjectes, et toute cette idéologie de la communication et du renoncement qui pénètre dans les moindres recoins de notre quotidien.
En effet, la voix-off guide le spectateur et prend énormément de distance. Publiée le 23 février 2012 Si le docu montre des choses que l'on sait déjà, la piqure de rappel ne fait pas de mal, et le montage ainsi que les différentes séquences l'élèvent bien au-dessus de la masse et livre un message bien plus subtil que "tous pourris".
Suivre son activité Les nouveaux chiens de garde en replay sur France Culture.
Il était âgé de 76 ans. Continuons à bien le noté pour qu'il y reste ! D'autant plus lorsqu'on n'est pas parvenu à rejoindre cette classe. Publiée le 19 février 2012 Comme cela a déjà été écrit, le film est indispensable (tout comme le livre d'Halimi l'était).
Suivre son activité Avec Ici on a préfèré s'intéresser à la patée pour chiens et à qui la donne, transformant le film en un long enoncé fastidieux et surtout en un exercice de délation. Malheureusement, ces pseudo-journalistes fiers comme Artaban de leur “culture” marxiste, outre leur médiocrité en tant que réalisateurs, leur incapacité à sortir de la moquerie pour trouver de véritables arguments, prennent en plus leurs spectateurs pour des idiots prêts à engloutir n'importe quel discours contestataire, particulièrement le plus simpliste. Mais ce qui me sidère le plus, c'est que ce film qui relève purement de l'escroquerie (et constitue même une insulte au cinéma documentaire), ait pu être sélectionné pour concourir à un prix récompensant les meilleurs films français.