Reconnaissance de la RASD. La Paz reconnaissait la «RASD» depuis décembre 1982.Mais en Amérique Latine et dans les Caraïbes, d’autres pays reconnaissent encore cette entité et maintiennent leurs liens avec le Polisario. "Tous les indicateurs préludent à une reconnaissance officielle de la RASD par le Conseil de sécurité et de l'ONU", a souligné Saïd Ouedjani s'interrogeant sur "les motifs du mécontentement affiché par le Maroc à la suite des déclarations du Secrétaire général de l'ONU sur l'occupation du Sahara Occidental, un fait qui remonte aux années 60".Le chroniqueur marocain a rappelé "les démarches entreprises par l'Union africaine (UA), sous la présidence de l'Afrique du sud et par plusieurs pays qui reconnaissent le Sahara Occidental, ou le Front Polisario, en tant que seul représentant du peuple sahraoui".M. "L'ONU semble favorable à la reconnaissance de la RASD (...).
En parallèle, le Front Polisario a politiquement répliqué et créé, en 1976, la République Arabe sahraouie démocratique (RASD).Malgré la décision de retrait de la Mauritanie en faveur du Maroc, le Front Polisario a poursuivi sa lutte armée contre le Maroc.Les négociations sur le statut du Sahara occidental n'ont pas abouti depuis le cessez-le-feu acté en 1991 grâce à l'intermédiaire de l'ONU.Immédiatement après le cessez-le-feu, le Conseil de sécurité de l'ONU a lancé, conformément à la résolution 690, sa mission pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO) afin de fournir les bases de négociations destinées à l’instauration de la paix dans la région.Le référendum n'a pas pu être réalisé jusqu'à présent, faute d'accord quant aux parties participantes.L'administration marocaine souhaite que l’ensemble de la population qui habite le Sahara occidental, soit 600 mille personnes y compris les 100 mille habitants de la région sous contrôle du Front Polisario, participent au référendum.En revanche, le Front Polisario s'oppose à la participation des marocains arrivés dans la région lors de la «Marche Verte», et installés depuis.- La non reconnaissance de l’indépendance par l’ONUBien que la RASD soit, depuis 1984, un membre à part entière de l'Union africaine, l’ONU ne reconnaît pas son indépendance.Selon les déclarations de la RASD, 45 pays au total dont majoritairement des pays d'Afrique et d'Amérique du Sud, reconnaissent le gouvernement de la RASD.Selon les sources officielles du Maroc, la RASD est reconnue par 34 pays.Depuis des années, la politique étrangère de l'administration marocaine s'est façonnée à la lumière de la situation du Sahara occidental.Le Maroc, qui tente de mettre un terme au soutien international accordé au Front Polisario, mène toute sa politique étrangère dans l'ombre de ladite question. Si les Cette solution ayant également été acceptée par le Le quotidien national américain "The Wall Street Journal" publie un article le 11 aout 2019 sur le Sahara occidental, qui fait état de la position des États-Unis sur le conflit en affirmant que « Washington ne soutiendrait pas un plan visant à créer un nouvel État en Afrique »Après l'impasse des quatre rondes de négociations à Les manifestations demandant l'indépendance du Sahara occidental sont violemment réprimées et des manifestants et responsables associatifs pour les droits humains sont parfois arrêtésAucune statistique récente de population n'est disponible pour les localités sous contrôle du Polisario.
Depuis le cessez-le-feu de 1991, le Maroc contrôle et administre environ 80 %En 1963, le Maroc fait inscrire ce territoire sur la « Les éléments et renseignements portés à la connaissance de la Cour montrent l'existence, au moment de la colonisation espagnole, de liens juridiques d'allégeance entre le sultan du Maroc et certaines des tribus vivant sur le territoire du Sahara occidental.
En vertu de cette déclaration, les pouvoirs et responsabilités de l’Espagne, en tant que puissance administrante du territoire, ont été transférés à une administration tripartite temporaire. Depuis le départ des Espagnols, l'ONU considère que le Sahara occidental est un territoire sans administration. juifs Par Anonyme, le 13.05.2020 ... ne reconnaît la souveraineté du Maroc, sur le Sahara occidental.
Sahara marocain: un autre pays retire sa reconnaissance de la “rasd”. Pour le moment, les partisans de Brahim Ghali ne peuvent compter que sur deux Etats : la Corée du Nord et le Timor Oriental.C’est toutefois en Afrique que le Polisario maintient ses principaux soutiens. Hormis ses traditionnels avocats, l’Algérie et l’Afrique du Sud en l’occurrence, c’est le cas de la Mauritanie, du Mali, de l’Angola, du Botswana, de l’Ethiopie et du Kenya qui reconnaissent toujours la «RASD». En 2007, le nombre de pays reconnaissant la RASD est passé à 35 selon le « portail du Sahara marocain » [3]. Vous utilisez Adblock ou un autre bloqueur de publicité. TRT ne peut être tenu responsable des contenus affichés par des liens externes sur le site. C'est un véritable consensus national imbrisable. "Par son silence, le Conseil de Sécurité démontre sa pleine adhésion aux actions du Secrétaire général onusien et, par conséquent, son rejet du communiqué du gouvernement marocain, partant du principe que la visite s'est effectuée dans le cadre de la légalité internationale et conformément aux décisions qu'il émet, ainsi que celles de l'Assemblée générale de l'ONU", a-t-il estimé. Nous assisterons entre la période allant du 30 avril 2017 au 30 avril 2018 à l'entrée de la RASD dans l'enceinte de l'ONU en tant que membre observateur", lit-on dans un article de l'analyste et chroniqueur marocain, publié dans le journal électronique "Elhiwar el Moutamadine".