La première partie du plan précise les dispositions de la fin du mandat britannique, du partage et de l’indépendance des entités.
En rouge : membres permanents du Conseil de sécurité. Eurent pour mission de veiller à la transition sur le terrain : Bolivie, Danemark, Panama, Philippines et Tchécoslovaquie. La seconde consiste en la création d’un seul État fédéral, contenant à la fois un État juif et un État arabe. Y avait-il eu des propositions de plan de partage avant 1947? Palestine 48 : 29 novembre 1947: Le partage et l'occupation de la Palestine - Comité Droit au Retour France.
Les Britanniques prévoient de se retirer le Le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive en Palestine, par le biais de l'Les premières violences éclatent en 1920 et 1921 lors des Dès la fin des années 1920, l’immigration s’intensifie encore avec l’arrivée des À la suite de cette insurrection, les Britanniques envisagent tout d’abord une partition entre les populations juive et arabe. La population juive ou La zone internationale centrée sur Jérusalem compterait 100 000 Juifs pour 105 000 Arabes.
Y avait-il eu des propositions de plan de partage avant 1947? Celui-ci se produisit en mars 1948, sous la forme d'une déclaration américaine abandonnant le plan de partage et se prononçant en faveur de la mise en
(Cartes publiées en 2008 sur le blog Visions cartographiques) Ils veulent une solution qui tienne à la fois compte des promesses faites aux parties (Après étude du dossier, l’UNSCOP dégage deux options. LIRE LA DEUXIEME PARTIE : Retour cartographique sur le conflit israélo-arabe. Le pays, placé sous mandat britannique depuis une vingtaine d’années, connait un immigration massive de Juifs, tout juste rescapés de l’holocauste nazie.
La première est la création d’un État juif et d’un État arabe indépendants, avec la ville de Jérusalem placée sous contrôle international. Néanmoins, le désir et la capacité d'invasion de la Palestine de la part de ces gouvernements restèrent douteux.
Depuis 1920, ils réclamaient la fin de l’immigration juive et l’indépendance de la Palestine, au mieux en tant qu’État multi-confessionnel dans lequel les populations juives jouiraient d’une autonomie plus ou moins importante et dont les droits seraient protégés.
Palestine. Au final, le souci de ménager à la fois le nationalisme arabe et le sionisme conduit la diplomatie américaine à se prononcer pour le partage de la Palestine. • un Etat arabe de 12.000 Km² qui comprend 735.000 habitants, dont 10.000 juifs • un Etat juif de 14.200 Km² avec 905000 habitants dont, 507.000 arabes • une zone internationale à Jérusalem de 205.000 habitants, dont 100.000 juifs. La majorité des membres de la Commission a recommandé le partage de la Palestine en un État arabe et un État juif, avec pour Jérusalem un statut international spécial sous l’autorité administrative de l’Organisation des Nations Unies. Les motivations des grandes puissances 1947 est l'année de la rupture entre les Etats-Unis et l'URSS : l'alliance nouée dans la Seconde guerre mondiale se défait, la guerre froide commence. Plan de Partage de la Palestine (1947)Armée de Défense d'Israël. L’UNSCOP remet officiellement ses conclusions à la mi-septembre. Une Commission spéciale pour la Palestine, comptant 11 membres, a été constituée à la première session extraordinaire de l’Assemblée, en avril 1947.
Il faut cependant noter que la population palestinienne n’a jamais été consultée et son autodétermination n’a pas été respectée (ceci est contraire aux principes de la charte des Nations-Unies - chapitre 12).
2 % des Juifs, soit 10 000 personnes, ne se retrouveraient ni dans l’État juif ni dans la zone internationale de Jérusalem. Le retour vers « la Terre promise » Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de Juifs prennent le chemin de l’URSS, premier libérateur des camps d’extermination, en direction du Birobijian, l’oblast autonome juif de Sibérie, créé par Staline en 1934. Au lendemain de 1945, les Etats-Unis jusqu'alors peu présents au Proche-Orient réalisent son importance. Deuxième partie : de la crise de Suez à la deuxième Intifada Si la compréhension de la temporalité du conflit israélo-arabe est nécessaire, la compréhension de sa spatialité l’est tout autant. La majorité des Juifs sionistes se réjouissent cependant d’obtenir enfin un État indépendant. La première guerre israélo-arabe (1948-1949) permet à l’Etat hébreu victorieux d’élargir son territoire. Période romaine puis byzantine Après la conquête romaine (64-63 avant J. Bilan du partage des Nations-Unies.