I don’t understand the negative reviews.In his first screenwriting effort, Mark Burnell seeks to expand the action movie genre. Lire ses 29 critiques One of contemporary cinema’s most underrated chameleons, Lively throws herself into the role with real gusto (that the actress injured herself so badly during a fight scene that production had to be put on hold is not in the least bit surprising, as unfortunate as it was).The physicality of Lively’s performance goes beyond those fight scenes, however — and these are impressive fight scenes, gritty and bruising, every punch and grunt jumping off the screen.
A dizzying single-take car chase halfway through the film appears to be lensed by someone sitting in the seat next to Stephanie, and serves as one hell of a cinematic rebuttal of other, more polished sequences in similar films.For all its bite, there’s still a razor-thin edge of black comedy running through the film even in its darkest moments, a risk that pays off while others falter.
Sauf qu’au final, Le Rythme de la Vengeance (2020) aurait surtout dû s’appeler "La mollesse de la vengeance", tant ce dernier s’avère extrêmement mollasson.
Malheureusement, malgré ses efforts louables, le scénario est tellement bancal et abracadabrantesque qu'on ne parvient jamais à y croire, ne serait-ce qu'une seule seconde. Pourtant on voulait y croire à ce thriller (pas seulement pour la présence de la radieuse Blake Lively) avec les producteurs de la saga James Bond (Barbara Broccoli & Michael G. Wilson) aux manettes, il y avait fort à parier que le résultat vaille le détour. Une classique histoire de vengeance qui vaut pour son interprète principal mais qui manque d'une réalisation plus pêchue.
Dan Scanlon
Une sorte de "Nikita" de troisième zone, sans aucun intérêt. Adaptée d’un roman, l’histoire prend pourtant trop vite ses distances avec cet aspect de l’histoire et le versant thriller à base de complot pour se focaliser sur la mise en place de la vengeance, la recherche des coupables et leur élimination.
Mais le problème de ce type de scénario, c'est qu'on en a vu 10, 20, 1000.. J'avais espoir qu'il apporte quelque chose de nouveau au style mais finalement il n'en est rien. Mathieu Kassovitz
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He and Director Reed Morano (“The Handmaid’s Tale” TV series) succeed, but only partially.
Her character’s desire for revenge seems real for about 15 minutes, but most of the time she is as much the hapless victim of dumb situations as fearsome avenger. Quelle perte de temps !
Les errances du film, le changement de ton abrupt et qui vont à l’encontre de toute ligne directrice et de toute mise en place d’un semblant de cohérence d’ensemble, en dit long sur l’absence de cadre à l’auteure du film.