Les merveilles de carnaval, également appelées beignets, sont une spécialité dédiée à cette fête annuelle. Les merveilles sont idéales pour accompagner café, thé ou chocolat chaud. Découpez dans la pâte des petits rectangles de 8×12 cm, et n’oubliez pas de faire une petite entaille de gauche à droite, d’environ 3 cm.Étape 3 : Faites-les frire dans de l’huile, et pensez à bien les égoutter.Étape 4 : Décorez ensuite vos merveilles de carnaval grâce au sucre de votre choix.Il est recommandé de les faire la veille, pour pouvoir les consommer le lendemain. La faute à la concurrence industrielle. Stéphane Oberson, l’un des rares pâtissiers de la place à sacrifier au rituel des beignets de février.Elles plongent sans rechigner dans leur bain fumant. Les merveilles de carnaval, également appelées beignets, sont une spécialité dédiée à cette fête annuelle.
Les industriels ont des machines pour faire ça en série. Nous sommes dans le labo meyrinois de Stéphane Oberson, artisan pâtissier et boulanger aux six enseignes genevoises; l’un des rares de la place à sacrifier encore à ce rituel gourmand.
On ne peut pas quitter la friteuse d’une semelle; ça mobilise donc un gars durant toute la préparation. La Merveille: une tradition craquante. Mais on les trouve aussi en Suisse allemande, elles s'appellent «C’est fragile et exigeant. La recette de ma grand-mère landaise... Mélanger tous les ingrédients et travailler longuement d'abord à la cuillère, puis à la main. Gourmandise éphémère de la période de Carnaval, la Merveille séduit toujours autant! Une fois. CARNAVAL • On la trouve généralement dans les grandes surfaces, mais certaines boulangeries en perpétuent encore la tradition artisanale.
Ajouter tout en pétrissant cette pâte les 125 g de beurre fondu puis le rhum (ou l'eau-de-vie) ainsi que les jus de citrons.Travailler assez longtemps cette pâte jusqu'à ce qu'elle devienne moelleuse. Les merveilles sont moelleuses à souhait; un régal pour les petits et pour les grands. Les mesures peuvent varier en différents modèles. Se déploient. Et à se léchouiller les babines.«J’ai toujours été attaché à ces produits de saison», confie Oberson. Remplissez/choisissez les champs de personnalisation, s'il vous plaît. Car la merveille du carnaval artisanale, et a fortiori domestique, a du plomb dans la pâte. Car voilà bien une bizarrerie lexicale: dans la francophonie, il n’y a guère que nous autres Suisses et les gourmets du Sud-Ouest pour nommer la chose ainsi. Ne reste plus qu’à planter les dents dedans. 500 g de farine tamisée 150 g de beurre 4 œufs 1 pincée de sel 20 g de sucre 1 sachet de sucre vanillé sucre en poudre huile pour friture. Se trémoussent. Carnaval n’est pas trop sucré et est très doux. Chez nous, on travaille à la main, pièce à pièce. En fin de bouffée, des pointes de pomme sont décelables.
Très rapidement des notes de poires juteuses s’associent au mélange et cela ajoute de la gourmandise. En l’an de grâce 1445, la douceur de février figure parmi les dépenses du couvent de Klingental. Et qui n’a plus des heures à consacrer à la cuisine de douceurs saisonnières, si croustillantes soient-elles.«La merveille, c’est un produit de niche, délicat à réaliser», annonce d’emblée le bon Oberson. L’opération exige un sacré coup de main. Il a presque un côté rassurant et enveloppant… Une réussite !
La recette, elle, se retrouve un peu partout. Ben oui, ces beignets traditionnels de la période de carnaval que l’on boulotte en Suisse depuis la nuit des temps.