Gravity. Or, Je trouve maladroit d’en conclure qu’une réflexion morale accrue est la réponse la plus éthique au débat sur l’avortement.Merci pour ce retour Laure-Élie, je suis d’accord avec vous en ce qui concerne l’expérience personnelle d’une femme qui doit choisir ou non de conserver son enfant. Parce qu’il reste à définir le statut exact du fœtus, ce qui est un autre sujet assez compliqué (lors de l’une des autres Faire un choix en lien avec l’avortement, c’est un choix difficile, et ça doit se faire avec de la réflexion, de la prudence et un objectif de sagesse.C’est donc là qu’apparaît DJ Aristote, en accouchant de son concept de sagacité.Celui-ci nous a offert une grande réflexion sur la sagacité dans ce Pour lui, la sagacité est en fait une bonne utilisation de la raison, mélangée à une sage intuition et qui permet de prendre une décision. taathorpe. Dans les deux cas (garder ou ne pas garder le fœtus) la descision ne peut pas être prise par pulsion d’émotion. le conditionnel “ferait” a bel et bien été employé !). Au niveau sociétal, il est de mon avis clair qu’il faille faire preuve de prudence pour éviter les dérives idéologiques, et ainsi permettre de prendre la décision qui se veut la plus morale. Philo ou pas, ce sujet demeure grandement débattu. Flashcards. Avec les pro-choix d’un côté, les pro-vie de l’autre. dissertation avortement pour ou contre Your computers hard drive decade in the writing that, in fact, the will. First of all thank you for giving me the floor. Copyright 2014 Office Supplies Glasgow Car les scientifiques s’accordent pour dire que toute vie commence à la conception, et non pas au gamète… Le terme “vie potentielle” met malheureusement votre argumentation sur le plan de la subjectivité… Il y a une question fondamentale : l’âme existe-t-elle ? L’avortement, c’est lorsqu’un petit pain a été mis au four, mais que pour une raison ou pour une autre, l’on choisit de tout arrêter et de retirer le mélange avant qu’il n’ait trop pris. Alors que moralement, certains pensent que ce petit pain, déjà en pleine cuisson, aurait dû avoir le droit de terminer de cuire pour être mangé le moment voulu (c’est une allégorie, cannibales s’abstenir), d’autres insistent en disant qu’il est tout à fait moral que l’artisane du pain puisse choisir de ne plus le faire, si d’autres obligations ou quelques circonstances l’empêchent d’en faire un vrai bon petit pain.Garder ou ne pas garder ce petit pain, telle est la question.Je vais être honnête avec vous, je n’ai jamais vécu de situation d’avortement, si ce n’est l’avortement d’un grand nombre de mes rêves et projets…En ce qui concerne le choix de l’avortement (le vrai), il est donc évident que je ne chercherai pas à juger de l’impact psychologique/émotionnel, que celui-ci peut avoir sur une personne, un couple, un groupe de personne (des polyamoureux parmi vous ? Vient ensuite la question de la conscience, quiPhilosophe junkie en quête de sens. Et souvent, vous ne ferez pas le bon choix.Aristote vous dirait plutôt de prendre le temps de raisonner, de bien mesurer le pour et le contre, et de passer à l’action en considérant ce que vous croyez être fondamentalement moral.Un peu plus de prudence n’a jamais fait de mal à personne, surtout dans une situation aussi complexe et alambiquée que celle d’un potentiel avortement.Car en fin de compte, que ce soit la pratique moderne de l’avortement ou la confection de bébé à la chaîne à l’époque de nos arrières-grands-parents, faire ce que l’on se fait dire de faire sans réfléchir soi-même sur l’impact moral de la chose, c’est tout aussi triste.Cette conclusion n’est pas aussi tranchée que vous l’auriez voulu ? Un avortement n’est pas immédiat. Nous ne pouvons pas en être sûr. Pas de procrastination pour le prof d’Alex le Grand !Comment peut-on être bon selon Mr. A ? When you login first time using a Social Login button, we collect your account public profile information shared by Social Login provider, based on your privacy settings. En avortant, on empêche au fœtus de vivre ses propres expériences et de potentiellementLes cas de viol et d’inceste demeurent marginaux. Oui, elle redevient passive, dans son petit cocon maternisant pendant quelques mois, mais cela ferait aussi partie de son devoir biologique (ne tirez pas de flèches !