Réalisé par John Glen, qui en est à son deuxième Bond, gagna la confiance de Broccoli puisqu’on lui doit à ce jour six chapitres de la franchise, dont son premier (et accessoirement, l’un des meilleurs de la saga) Au service secret de sa Majesté (1969). L'introduction met en scène le personnage de Blofeld, délaissé depuis l'époque Connery.... Les services secrets britanniques déclenchent une opération sous-marine discrète pour récupérer l'appareil.
Pour revenir aux personnages, dieu merci Requin n'ai plus là. Au programme de cet énième opus : d’impressionnantes cascades réalisées en partie par le célèbre cascadeur français Rémy Julienne (pour les poursuites en voitures et à moto). Et cet opus ne fait pas exception à la règle : c'est un James Bond parmi tant d'autres, avec un Roger Moore assez kitch (oui, c'est peut-être lui l'élément le plus kitch du film), un méchant facilement oubliable, un James Bond girl qui aurait pu être intéressante, mais tellement sous-exploitée qu'elle n'en devient qu'une fille banale de plus et des personnages secondaires inutiles (la patineuse), et des rebondissements qu'on voit venir à 100 kilomètres à la ronde. Le temps lui est compté car les Russes sont aussi sur l’affaire. Suivre son activité
Plus humain et dècontractè, 007 abandonne son Aston Martin pour une 2CV et Carole Bouquet tire à l'arbalète plutôt qu'au fusil à laser!
Suivre son activité Après qu’un bateau espion britannique ait malencontreusement coulé en mer Ionienne, James Bond doit à tout prix le localiser pour récupérer l’ATAC, un système de lancement de missiles très perfectionné. En fait quand je regarde les films James Bond, j'ai l'impression de voir le même film, avec quelques nuances. Eh bien toujours aussi bien, Moore est toujours en pleine forme. de Donnie Yen, Scott Adkins, Danny Kwok-Kwan Chan
Suivre son activité Une fois de plus, Roger Moore incarne l'agent 007 et ce n'est pas pour nous déplaire. Rien que pour vos yeux est la douzième mission de James Bond. Par les membres ayant fait le plus de critiques La Douleur Entre littérature et histoire, Emmanuel Finkiel sublime "La Douleur" de Marguerite Duras . Après l'affreux "Moonraker", Lewis Gilbert cède sa place à John Glen qui va réaliser son premier James Bond du nom de "Rien que pour vos yeux". Découvrez la critique du film Rien que pour vos yeux de John Glen (II), sorti en 1981 - L'avis d'EcranLarge.com Cet opus de James Bond, sa douzième mission et la cinquième pour Roger Moore, n'apporte rien d'intéressant à la saga.
Mais revenons dans le vif du sujet.
Quoique, vu le nombre de cascades, sa doublure a sûrement du enquiller plus d’heures de tournage que lui au final. Rien que pour vos yeux : Douzième mission pour notre plus célèbre mais aussi pour le moins secret agent secret de sa Majesté, j’ai nommé : Bond, James Bond alias 007. Un cœur simple Suivre son activité
Mais heureusement que tout n'est pas à jeter. S’il demeure cet inamovible agent au service de sa gracieuse majesté, James Bond semble de plus en plus oeuvrer pour la défense des intérêts américains, co-production oblige.
Déjà elle participe, c’est beaucoup vu ses prédécesseurs, elle prend part aux poursuites, à l’action et a un rôle dans le déroulement de l’aventure : une révolution. Suivre son activité L’humour est souvent présent pour notre plus grand plaisir .
Lire ses 10 398 critiques La faute à un méchant inexistant, à des scènes d’action qui ne se départissent jamais d’une désagréable impression de déjà vu, et à un James Bond peu convainquant.
Le film est réalisé par John Glen et le changement de réalisateur se fait sentir et remarquer.