Dans certains secteurs de Sabra et de Chatila, on venait de découvrir des traces de massacre perpétré contre la population civile. Mais dès le 1erseptembre 1982, les 11 000 combattants de l’OLP avaient quitté Beyrouth.
La responsabilité morale de dirigeants militaires et politiques israéliens a été reconnue tandis que les miliciens des factions libanaises auteurs de ce massacre ont été exemptés rétroactivement de toute responsabilité pénale. N'oubliez pas les familles chrétiennes égorgées , même les bébés dans leurs berceaux .J'ai servi au Liban et je peux vous dire que les excès étaient surtout du côté palestinien sans retenue avec le soutien de certaines communautés socialistes libanaises .Dans cette guerre civile il y a eu entre 150 et 250000 morts.pour septembre noir on n'en a pas fait une histoire....ce sera tjrs ainsi lorsque le nombre de réfugiés menacera le pays hôte. À un endroit, j'en ai compté huit, alignés au bas d'un mur qui portait des traces de balles. Il ne leur sera fait aucun mal.Mais la neutralisation des redoutes ruinées de l'O.L.P. Si donc Tsahal campe aujourd'hui dans les jardins de Beyrouth, ce n'est que samedi matin qu'elle avait achevé l'investissement de la zone des camps palestiniens depuis la corniche Mazraa.
Après la mort de ce leader chrétien pro-israélien, Israël donne l’ordre à ses troupes d’entrer dans Beyrouth. Ils se ressemblent tous et tous sont pitoyables.Dans l'une des rues du camp, où l'on relève des traces de bulldozers qui ont défoncé les murs des habitations, des morts sont allongés sur les trottoirs. Alors en pointe contre la guerre au Liban menée par la droite israélienne, le mouvement « la paix maintenant » et l'opposition de gauche organisent une immense manifestation à Tel Aviv qui rassemble plusieurs centaines de milliers de personnes.Sur le plan politique, le gouvernement israélien, sous pression, met sur pied dès le 28 septembre une « commission d’enquête sur les événements dans les camps de réfugiés à Beyrouth au Liban ». Elles avaient fait précéder leur progression par des appels au mégaphone: «Que les hommes se rendent pour protéger leurs familles. Nous pensons à tous ces Palestiniens qui ont été tués et assassinés par les forces de l’occupation israélienne, directement ou indirectement, nous pensons aux milliers de Palestiniens tués en 1982 dans les camps de réfugiés de Sabra et de Chatila par les milices libanaises et les soldats israéliens. LES ARCHIVES DU FIGARO - Du 16 au 18 septembre 1982 des réfugiés palestiniens étaient massacrés par des milices chrétiennes dans la banlieue de Beyrouth. Voici le récit du correspondant spécial duTout commence par un assassinat. Les témoignages et les images décrivent une horrible vérité : cette tuerie a duré deux jours sous les yeux de l'armée israélienne, selon les premiers témoignages.Le massacre des Palestiniens dans ces camps de réfugiés situés dans la partie ouest de Beyrouth s’inscrit dans Après la création d’Israël, des milliers de Palestiniens fuient ou sont chassés de leurs terres et trouvent asile dans les pays arabes.
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Selon les Israéliens, le nombre des victimes s’élève à 300.
Peu après, plusieurs camions lourds, escortés de blindes, transportaient un chargement dé caisses scellées vers le port.On récupère aussi, dans les rues, des armes qui ont été précipitamment abandonnées et des paquets d'explosifs. Une sanction qui ne l’empêchera pas de revenir au pouvoir quelques années plus tard.Trente ans après les faits, aucune condamnation pénale n'a été prononcée à l'encontre des responsables de la tuerie. Interpretation Sabra and Shatila massacres (1982) Massacre of Palestinian civilians by Christian militiamen in two Beirut refugee camps during the … Le 14 septembre 1982 le président nouvellement élu, Dès le 17 septembre au matin des femmes palestiniennes -qui ont pu fuir les camps- alertent sur le drame en cours, dans les rues de Beyrouth-Ouest. aurait pu passer pour une simple opération de contrôle si une information n'était venue lui donner un tour tragique.
Et la chasse aux suspects avait commencé dans les rues et les immeubles. Alors que la force multinationale doit rester à Beyrouth jusqu’au 26 septembre, les Américains se retirent le 10, les Italiens le 11 et, malgré l’insistance de personnalités libanaises, les Français partent à leur tour le 14.